Holà les amis!
Et oui, ça fait déjà un mois que nous sommes arrivés à Buenos Aires et comme vous vous en doutez, nous n'avons pas vu le temps passer et nous avons un peu peur que cette année passe trop vite sans que l'on ait le temps de faire tout ce pour quoi nous sommes venus.
La première chose que l'on peut dire c'est que le choc des premiers jours est passé très rapidement et que nous nous sommes parfaitement adaptés à notre nouvel environnement. La ville commence à nous être familière et nous ne regardons plus autant la carte qu'au début pour nous orienter. Cette semaine nous avons même dû indiquer le chemin deux fois a des Argentins qui étaient perdus (la classe!!!). Parallèlement, nous prenons des cours d'espagnol intensifs car nous vous rappelons que nous n'avons jamais appris "el Castellano" à l'école. Heureusement, cette langue latine relativement proche du français rentre rapidement dans nos têtes et les cours nous ont permis d'éviter quelques méprises avec les gens du coin:
Nous apprenons également à connaître les Argentins que nous côtoyons tous les jours dans les transports, dans les milongas et dans les cours de tango. Avant de partir tout le monde (y comprit des Argentins) nous avaient dit "Faites attention à vos sacs quand vous serez là bas, les rues sont dangereuses, pas comme en France". Or, force est de reconnaître que malgré une vie assez dur (passé de dictatures militaires, puis crise économique et politique de rigueur) la majorité des Argentins sont des gens profondément honnêtes et généreux et que les rues sont aussi sûres qu'à Paris (ce qui ne veut pas dire sûres). Tout dépend des quartiers et des horaires, comme partout. En tout cas en se baladant habillé simplement, il n'y a pas de problème.
Petites spécificités argentines :
- il n'est pas rare de voir des gens faire le signe de croix dans le bus (en même temps vu la conduite portègne, c'est compréhensible);
- dans les transports les gens applaudissent les artistes ambulants (avec la même mine que dans le métro français, certes, mais quand même c'est plus chaleureux) et il est courant de donner un petit quelque chose.
Bien sûr, il n'y a pas que des avantages et comme nous l'avons déjà évoqué, la ville est globalement plutôt sale et en mauvais état si l'on excepte les quartiers huppés voire "ghettos de riches" comme dans certains secteurs de Palermo ou Belgrano. Mais après quelques temps, le décors est quelque chose auquel on ne fait plus attention. Le cerveau s'adapte à ces nouveaux repères et nous profitons de chaque moment passé ici. Il faut dire que la météo aide un peu car le soleil a enfin montré le bout de son nez et qu'il fait désormais 30-35°C tous les jours de manière assez constante ce qui rend la vie plus agréable (nous ne savons pas si nous tiendrions le même discours par exemple sous des latitudes écossaises...).
Et oui, ça fait déjà un mois que nous sommes arrivés à Buenos Aires et comme vous vous en doutez, nous n'avons pas vu le temps passer et nous avons un peu peur que cette année passe trop vite sans que l'on ait le temps de faire tout ce pour quoi nous sommes venus.
La première chose que l'on peut dire c'est que le choc des premiers jours est passé très rapidement et que nous nous sommes parfaitement adaptés à notre nouvel environnement. La ville commence à nous être familière et nous ne regardons plus autant la carte qu'au début pour nous orienter. Cette semaine nous avons même dû indiquer le chemin deux fois a des Argentins qui étaient perdus (la classe!!!). Parallèlement, nous prenons des cours d'espagnol intensifs car nous vous rappelons que nous n'avons jamais appris "el Castellano" à l'école. Heureusement, cette langue latine relativement proche du français rentre rapidement dans nos têtes et les cours nous ont permis d'éviter quelques méprises avec les gens du coin:
Nous apprenons également à connaître les Argentins que nous côtoyons tous les jours dans les transports, dans les milongas et dans les cours de tango. Avant de partir tout le monde (y comprit des Argentins) nous avaient dit "Faites attention à vos sacs quand vous serez là bas, les rues sont dangereuses, pas comme en France". Or, force est de reconnaître que malgré une vie assez dur (passé de dictatures militaires, puis crise économique et politique de rigueur) la majorité des Argentins sont des gens profondément honnêtes et généreux et que les rues sont aussi sûres qu'à Paris (ce qui ne veut pas dire sûres). Tout dépend des quartiers et des horaires, comme partout. En tout cas en se baladant habillé simplement, il n'y a pas de problème.
Petites spécificités argentines :
- il n'est pas rare de voir des gens faire le signe de croix dans le bus (en même temps vu la conduite portègne, c'est compréhensible);
- dans les transports les gens applaudissent les artistes ambulants (avec la même mine que dans le métro français, certes, mais quand même c'est plus chaleureux) et il est courant de donner un petit quelque chose.
Bien sûr, il n'y a pas que des avantages et comme nous l'avons déjà évoqué, la ville est globalement plutôt sale et en mauvais état si l'on excepte les quartiers huppés voire "ghettos de riches" comme dans certains secteurs de Palermo ou Belgrano. Mais après quelques temps, le décors est quelque chose auquel on ne fait plus attention. Le cerveau s'adapte à ces nouveaux repères et nous profitons de chaque moment passé ici. Il faut dire que la météo aide un peu car le soleil a enfin montré le bout de son nez et qu'il fait désormais 30-35°C tous les jours de manière assez constante ce qui rend la vie plus agréable (nous ne savons pas si nous tiendrions le même discours par exemple sous des latitudes écossaises...).
Un mois déjà ... ouh la la le temps passe super vite !!
RépondreSupprimerBizzous à vous deux !
Biquet ;-)